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Sudinfo avec AFP

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Il est mort le mercredi 31 mai, a précisé son épouse.</p><p>«&nbsp;Jacques Rozier vient de nous quitter. Il était la liberté même, et il va terriblement nous manquer&nbsp;», a réagi la Cinémathèque française, qui lui a rendu hommage sur Twitter. «&nbsp;Des cinéastes de la Nouvelle Vague, Rozier est celui qui divague. Celui qui aime que tout aille de travers, pour mieux alimenter son sens très particulier de la dramaturgie&nbsp;».</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qks5r0f/showtitle/1/mdtk/01515498/zone/1/?tagparamdecoded=Entertainment&tagparam=cat%3Dentertainment" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Le mouvement de la Nouvelle vague, né à la fin des années 1950, entendait rompre avec les techniques cinématographiques classiques au profit de l’expérimentation et d’une approche individualiste, voire iconoclaste. Outre Jacques Rozier, ses figures les plus emblématiques sont Jean-Luc Godard, François Truffaut, Agnès Varda, Louis Malle, Claude Chabrol, Jacques Demy ou encore Eric Rohmer.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Prix Jean Vigo 1986 pour «&nbsp;Maine Océan&nbsp;», prix René Clair 1997 pour l’ensemble de son oeuvre, Carrosse d’or 2002 au Festival de Cannes, Jacques Rozier a réalisé «&nbsp;Adieu Philippine&nbsp;» (1962), chronique de la jeunesse sur fond de guerre d’Algérie, «&nbsp;Du côté d’Orouët&nbsp;» (1973) et «&nbsp;Les naufragés de l’île de la tortue&nbsp;» (1976). Quatre films en plus d’un demi-siècle…</p><p>Il en a tourné deux autres, «&nbsp;Fifi martingale&nbsp;» (2001), jamais sorti en salles, et «&nbsp;Le perroquet parisien&nbsp;» (2007), resté inachevé.</p><p>Il a également tourné une vingtaine de courts-métrages, souvent remarqués, et travaillé pour la télévision.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>En 2019, Jean-Luc Godard (décédé depuis) saluait lui aussi la trace laissée par Jacques Rozier dans le cinéma français&nbsp;: «&nbsp;quand Agnès Varda est morte, j’ai pensé&nbsp;: la vraie Nouvelle Vague, on n’est plus que deux. Moi et (…) Jacques Rozier qui a commencé un peu avant moi&nbsp;».</p></div>

Ciné-Télé-Revue

Cinéma

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/674829

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Le monde du cinéma en deuil: le cinéaste Jacques Rozier, figure de la Nouvelle vague, est décédé à l’âge de 96 ans

Sigrid Descamps

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="question"><strong> D’où est venue l’idée de cette comédie, qui est en réalité plus une fable sur la quête d’identité&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> J’avais animé quelques ateliers avec des jeunes comédiens d’origine marocaine. Un peu plus tard, j’ai revu l’un d’eux, Bilal, dans «&nbsp;Le Nouveau testament&nbsp;» de Jaco Van Dormael. Il y jouait un jeune gigolo dont le personnage interprété par Catherine Deneuve louait les services. Je l’avais alors recontacté pour le féliciter et lui avais dit que ses parents devaient être fiers de lui. Or, ce n’était pas le cas du tout&nbsp;: il n’avait pas osé leur avouer quel rôle il tenait. Il avait honte. C’était triste et, en même temps, j’ai eu envie de raconter cette histoire et tout ce qu’il y a derrière. Car au-delà de ce que la situation peut provoquer et de l’effet comique que l’on peut en tirer, il y a le déchirement de ce garçon entre deux mondes. Le héros peine à gérer les injonctions contradictoires entre ses rêves d’acteur et la communauté maghrébine avec ses traditions. Il a honte de qui il est, ce qui le pousse à des comportements à la limite du risible. C’est à la fois une comédie burlesque et une fable contemporaine sur la quête d’identité. </em></p><p class="question"><strong> Il paraît qu’il y a un peu de vous dans Habib&nbsp;? </strong></p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="reponse"><em> Oui, je me reconnais dans ses tiraillements pour les avoir vécus, à une autre échelle bien sûr. Je suis issu d’une famille de notaires, plutôt bourgeoise, et j’ai décidé de mener des études artistiques. À l’école, j’avais parfois honte du milieu d’où je venais, dont les valeurs étaient très éloignées de celles des gens que je côtoyais. Donc, je comprends ce qu’il vit, ses mensonges, aux autres et surtout à lui-même. </em></p><p class="question"><strong> Pour l’incarner, vous avez fait appel à Bastien Ughetto (vu dans «&nbsp;Adieu les cons&nbsp;») qui… n’est pas arabe&nbsp;! Vous n’aviez pas peur qu’on vous le reproche&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> C’est vrai qu’on traverse une époque délicate où on pointe du doigt les cinéastes qui ne font pas incarner les membres de certaines communautés par des acteurs qui en sont issus. Je fais également jouer une jeune aveugle par une actrice qui ne l’est pas... Et alors&nbsp;? Au final, l’un et l’autre sont totalement crédibles dans leurs personnages, c’est ça qui compte. Ce n’est pas un film naturaliste, c’est une fable. Je précise que j’ai d’abord cherché un acteur marocain pour le rôle mais je ne trouvais pas le personnage que j’avais en tête. J’avais envie d’un acteur «&nbsp;lunaire&nbsp;», d’un «&nbsp;John Turturro arabe&nbsp;» et c’est mon directeur de casting qui a trouvé Bastien. Il s’est littéralement emparé du personnage, il a même appris l’arabe pour l’occasion. </em></p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="question"><strong> Comment le film est-il accueilli par la communauté maghrébine&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Les gens sortent des projections touchés et ravis. Beaucoup se réjouissent du fait que j’aie tourné une comédie à Molenbeek. Ils en ont marre qu’on parle de leur commune uniquement à cause des djihadistes. Le film montre la vraie vie, les relations humaines… Je joue évidemment avec les clichés, mais toujours avec respect. Et le public apprécie. Pour l’anecdote, le film s’intitulait au départ «&nbsp;Saint François de Molenbeek&nbsp;» car le film démarre avec Habib qui travaille sur le rôle de saint Françoise d’Assise pour une pièce de théâtre. Mais on nous a déconseillé d’utiliser ce titre à cause, précisément, de l‘image négative dont souffre Molenbeek. </em></p><p class="question"><strong> Le film voit défiler pas mal de visages familiers, des habitués des seconds rôles, des «&nbsp;gueules&nbsp;» de théâtre aussi. On connaît votre amitié avec Benoît Poelvoorde et François Damiens, vous n’étiez pas tentés de leur offrir une apparition&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Non, parce que justement, j’aurais eu l’impression de me servir de notre amitié, et cela nous aurait mis tous les trois mal à l’aise. </em></p><p class="question"><strong> Par contre, vous vous «&nbsp;offrez&nbsp;» les services de Catherine Deneuve. L’avez-vous facilement convaincue &nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em><p>Elle était d’abord réticente car elle déteste jouer son propre rôle, mais elle a aimé le scénario et après m’avoir rencontré, elle a finalement dit oui&nbsp;! Heureusement car l’idée du film reposait sur une anecdote la concernant, j’avais donc écrit le scénario en pensant à elle&nbsp;; il était primordial pour moi qu’elle accepte&nbsp;! Et elle a adoré venir travailler quelques jours à Bruxelles.<cci:bullet class="macro" displayname="PUCE" name="bullet"/> </p> </em></p><p><small> «&nbsp;Habib, la grande aventure&nbsp;», dans les salles </small></p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/674734

Entretien

Benoît Mariage: «J’avais envie d’une comédie à Molenbeek»

Jean-Philippe Darquenne

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Ce mercredi, les abonnés de Disney+ découvrent enfin&nbsp;– sans frais supplémentaires – la dernière merveille de James Cameron, «&nbsp; <strong>Avatar&nbsp;: la voie de l’eau</strong> &nbsp;», dont les recettes s’approchent des trois milliards d’euros. A cette occasion, <strong>Ciné-Télé-Revue</strong> a été invité à Lightstorm Entertainment, un espace de 54 000m2 situé à Manhattan Beach (à une petite heure au sud de Los Angeles), où la conception du film a commencé en… septembre 2017.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id589740/article/2022-12-14/avatar-la-voie-de-leau-une-nouvelle-claque-visuelle-encore-plus-puissante" >«Avatar: La voie de l’eau», une nouvelle claque visuelle encore plus puissante!</a> </h4> </div>
 </p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qksulru/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>C’est aussi là que sont nés d’autres mastodontes de Cameron, comme en témoigne la première étape de notre visite&nbsp;: le musée. On y voit notamment la vraie et terrifiante reine mère alien, qui – pour détendre l’atmosphère – porte des hauts talons, le Terminator du «&nbsp;Jugement Dernier&nbsp;», une réplique parfaite du «&nbsp;Titanic&nbsp;», une plate-forme d’arme ambulatoire d’«&nbsp;Avatar&nbsp;» et, à l’entrée, d’impressionnantes répliques en silicone de Neytiri et Jake Sully, le couple créé par la société Gentle Giant. «&nbsp; <em>Ils mesurent trois mètres et trente centimètres, leur véritable taille</em> &nbsp;», précise notre guide, Josh Izzo. «&nbsp; <em>C’est exactement comme ça qu’on les retrouve à la fin du film, avant la dernière bataille</em>.&nbsp;» Il ajoute&nbsp;: «&nbsp; <em>Tout ce qui se trouve dans cette pièce a été effectivement filmé&nbsp;: les personnages, les accessoires, les costumes, les bijoux</em>…&nbsp;»</p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/06/07/node_674055/54864767/public/2023/06/07/B9734463360Z.1_20230607151504_000%2BG27MTPCIL.1-0.jpeg.jpg?itok=wA7RKoBg1686143801" data-width="" data-height="" alt="" /></figure> </p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/06/07/node_674055/54864766/public/2023/06/07/B9734463360Z.1_20230607151504_000%2BG27MTPCIK.1-0.jpeg.jpg?itok=3gP581xb1686143801" data-width="" data-height="" alt="" /></figure> </p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/06/07/node_674055/54864770/public/2023/06/07/B9734463360Z.1_20230607151504_000%2BG27MTPCIJ.1-0.jpeg.jpg?itok=E_vQzgbt1686143801" data-width="" data-height="" alt="" /></figure> </p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/06/07/node_674055/54864768/public/2023/06/07/B9734463360Z.1_20230607151504_000%2BG27MTPCIM.1-0.jpeg.jpg?itok=0bEvIJTx1686143801" data-width="" data-height="" alt="" /></figure> </p><h2> Un exploit après l’autre </h2><p>Quelques minutes plus tard, le producteur Jon Landau, oscarisé pour «&nbsp;Titanic&nbsp;» et mouillé jusqu’au cou dans tous les «&nbsp;Avatar&nbsp;» (pour rappel, trois autres sont attendus&nbsp;!), a souligné le côté révolutionnaire de ce deuxième opus. «&nbsp; <em>Ici, le monde de Pandora a d’abord été réellement créé par des designers exceptionnels, puis a été numérisé. Dans un premier temps, nous avons physiquement fabriqué les objets utilisés par les Na’vis.</em> &nbsp;» </p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Autres innovations&nbsp;: des séquences à 48 images par seconde, et un perfectionnement de la «&nbsp; <em>performance capture</em> &nbsp;», comme on dit dans le jargon. «&nbsp; <em>En utilisant deux caméras de haute définition et non plus une, nous avons réussi à montrer, en plans rapprochés, toutes les expressions des visages de nos personnages, et à rendre compte, en même temps, du moindre mouvement de leur corps</em> &nbsp;», a expliqué Landau.</p><p>Notre parcours dans l’imaginaire de James Cameron s’est terminé en apothéose dans une salle géante appelée «&nbsp;Le Volume&nbsp;». Il n’y a pas si longtemps se trouvait là une piscine de 36 mètres de long, 18 de large et 9 de profondeur, contenant deux millions de litres d’eau. Un océan fictif, mais avec vagues et courants, générés par deux hélices de bateau. «&nbsp; <em>L’infrarouge utilisé pour la performance capture du premier «Avatar» ne fonctionne pas sous l’eau, donc on a cherché une autre technique. Et on a trouvé&nbsp;!</em> &nbsp;» s’est réjoui Landau. </p><p>Sur les murs du Volume, près de cent cinquante petits appareils dotés de caméras à ultraviolets ont été installés pour capter les mouvements et expressions des acteurs évoluant dans l’eau. Lesquels ont travaillé pendant des mois, à Hawaii, sur leur apnée et leurs déplacements sous-marins. </p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Clairement, la fabrication d’«&nbsp;Avatar&nbsp;2&nbsp;», c’est (aussi) de la science-fiction, mais le résultat est incroyable. Jamais film conçu avec le numérique et la 3D n’a été aussi réaliste. Vivement le prochain&nbsp;!</p></div>

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    <div class="gr-linked-stories">
        <h4>
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        </h4>
    </div>

                </p>
                
                <p><div class="atom_class_video"><span></span></div></p>
                
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Sur les traces des Avatars et autres grands succès de James Cameron, à Manhattan Beach (vidéo)

Frédéric Seront

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Sorti en 2008, «&nbsp;Slumdog Millionaire&nbsp;» a bouleversé des millions de spectateurs en décrivant le sort des enfants des bidonvilles en Inde, exploités pour la mendicité, jusqu’à leur brûler les yeux pour qu’ils rapportent plus d’argent&nbsp;!</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qurz3q5/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Mais le long métrage de Danny Boyle a fait l’objet rapidement aussi d’une polémique en étant accusé d’avoir lui-même exploité de jeunes enfants indiens, sous-payés pour l’occasion.</p><p>Les parents de Rubina Ali et d’Azharuddin Ismail, qui incarnent Latika et Salim pendant leur enfance, affirment ainsi qu’ils auraient été sous-payés. Les comédiens, qui vivaient alors réellement dans les bidonvilles de Mumbai, n’auraient reçu respectivement que 700 et 2000 euros. Danny Boyle avait répliqué en affirmant que les deux acteurs en herbe avaient été inscrits pour la première fois à l’école après le tournage et qu’un fonds avait été créé pour couvrir leurs frais d’éducation et de santé. «&nbsp;Notre plan est de les garder à l’école jusqu’à l’âge de 18 ans. Ils recevront alors une grosse somme d’argent. Parce que si nous leur donnons beaucoup d’argent maintenant, il pourrait juste disparaître.&nbsp;»</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p> <strong>«&nbsp;Slumdog Millionaire&nbsp;», 7 juin, 20h15, RTL plug.</strong> </p></div>

Ce soir à la télé

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Ce soir à la télé/673468

Newsletter CTR

«Slumdog Millionaire»: des enfants ont-ils été exploités par la production?

F.Gh. (D.R.)

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Beau lancement pour le nouveau projet de Franck Gastambide&nbsp;! Deux jours seulement après sa sortie, «&nbsp; <strong>Medellin</strong> &nbsp;» se retrouve à la première place du classement de Prime Video, comme l’indique le site FlixPatrol. Le film passe ainsi devant «&nbsp;Air&nbsp;», le fruit de la dernière collaboration entre Ben Affleck et Matt Damon, qui s’accrochait au top du classement depuis sa sortie, le mois dernier. L’acteur réalisateur à succès signe une première collaboration très réussie avec la plateforme, qui pourrait se pérenniser, d’autant qu’il avait intentionnellement choisi de travailler avec un tel géant. «&nbsp; <em>Ça a été un vrai choix de se dire de faire le film pour une plateforme et non pour la salle (…). En vrai, je n’avais pas de vraies raisons d’aller sur une plateforme sauf cette raison-là&nbsp;: pouvoir faire un film à ambition internationale, avec un casting international pour lequel Amazon et son bureau de Los Angeles allaient m’aider.</em> &nbsp;» expliquait-il&nbsp;à BFMTV il y a quelques jours.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qkq0vuf/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=Entertainment&tagparam=cat%3Dentertainment" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id670714/article/2023-05-30/air-il-etait-une-fois-michael-jordan-et-nike-dans-un-film-voir-sur-prime-video?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dair%2520prime%2520video" >«Air»: il était une fois Michael Jordan… et Nike, dans un film à voir sur Prime Video</a> </h4> </div>
 </p><p>Et il s’est bien servi de ce rayonnement international, puisque le long-métrage a bien été tourné dans la capitale colombienne, qui prête son nom au projet. Il raconte l’histoire de Pablito, un jeune Youtubeur, fasciné par Pablo Escobar, qui décide de réaliser son rêve en partant à Medellin sur les traces du baron de la drogue. Quelques jours plus tard, c’est par une vidéo postée sur ses réseaux sociaux, que le monde découvre que Pablito est aux mains de dangereux narcos, qui exigent une énorme rançon pour le libérer. «&nbsp;Plata o Plomo&nbsp;!&nbsp;» Mais ce que les narcos ignorent, c’est que Pablito a un grand frère et que ce grand frère a un plan aussi simple que totalement insensé&nbsp;: monter une équipe, faire une descente en Colombie pour affronter les hommes du cartel et ramener son petit frère sain et sauf.</p><p>Et il n’y a pas qu’avec le décor que Franck Gastambide a vu grand, puisqu’il a également réussi à convaincre une star internationale à rejoindre son casting. Mike Tyson interprète, en effet un rôle clé dans l’intrigue, un choix que le réalisateur ne regrette pas. «&nbsp; <em>Quand j’étais gamin, la moitié des chiens de mon quartier s’appelaient Tyson, tant ce boxeur était populaire. C’est peu dire l’émotion que j’ai ressentie quand je l’ai dirigé.</em> &nbsp;» a-t-il raconté à 20 Minutes. Dans le reste de la distribution, on retrouve Ramzy Bedia, Anouar Toubali, des habitués de sa bande, avec qui il avait notamment collaboré sur «&nbsp;Pattaya&nbsp;».</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id670045/article/2023-05-28/une-comedie-francaise-avec-mike-tyson-une-romance-espagnole-la-saison-4-de-jack" >Une comédie française avec Mike Tyson, une romance espagnole, la saison 4 de «Jack Ryan»: que voir sur Prime Video, en juin 2023?</a> </h4> </div>
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Prime Video

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Streaming/Prime Video/672948

«Medellin»: le nouveau film de Franck Gastambide, pour Prime Video, cartonne déjà dans le monde

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>C’est dans une tribune publiée par la version américaine de Vogue que <strong>Tallulah Willis </strong>s’est confiée sur les moments difficiles que traversent ses proches depuis plusieurs mois. En effet, au printemps 2022, <strong>Bruce</strong> <strong>Willis </strong>annonçait être atteint d’aphasie, un trouble du langage causé par des lésions cérébrales, et mettait fin à sa carrière. En février dernier, la maladie de l’acteur avait progressé&nbsp;: «&nbsp; <em>Nous avons maintenant un diagnostic plus précis&nbsp;: la démence fronto-temporale.</em> &nbsp;» «&nbsp; <em>Malheureusement, les difficultés de communication ne sont qu’un symptôme de la maladie à laquelle Bruce est confronté</em> &nbsp;» avait expliqué sa famille dans un communiqué.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qr3rzu3/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id638291/article/2023-03-23/jai-commence-la-matinee-en-pleurant-emma-heming-la-femme-de-bruce-willis-partage?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dbruce%2520willis" >«J’ai commencé la matinée en pleurant»: Emma Heming, la femme de Bruce Willis, partage son désarroi face à la santé de l’acteur qui se dégrade (vidéo)</a> </h4> </div>
 </p><p>«&nbsp; <em>Je savais que quelque chose n’allait pas depuis longtemps. Ça a commencé par un léger manque de réactivité que nous avons d’abord attribué à une perte d’audition liée à Hollywood&nbsp;: ‘Parle plus fort&nbsp;! Piège de cristal a ruiné les tympans de papa.’ Plus tard, ce manque de réactivité s’est étendu</em> &nbsp;» raconte Tallulah dans les colonnes du magazine de mode. La cadette des filles que la star a eues avec son ex-femme, Demi Moore, confie également qu’elle a initialement pris cette espèce d’apathie personnellement&nbsp;: «&nbsp; <em>Il avait eu deux bébés avec ma belle-mère, Emma Heming Willis, et j<cci:italic class="character" displayname="TEXTE_I" name="italic">e </em> </cci:italic> <em>pensais qu’il se désintéressait de moi.</em> &nbsp;» La femme de 29 ans admet avoir ensuite eu du mal à voir son père, une véritable star du cinéma d’action, diminué. «&nbsp; <em>Je reconnais que j’ai fait face au déclin de Bruce ces dernières années avec un mélange d’évitement et de déni dont je ne suis pas fière.</em> &nbsp;»</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id636719/article/2023-03-20/je-taime-et-jaime-notre-famille-affaibli-bruce-willis-fete-son-anniversaire-avec?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dbruce%2520willis" >«Je t’aime et j’aime notre famille»: affaibli, Bruce Willis fête son anniversaire avec son ex Demi Moore, qui lui adresse un tendre message (vidéo)</a> </h4> </div>
 </p><p>À ce moment, dans un besoin de se protéger, Tallulah Willis explique être parvenue à mettre ses sentiments pour son père «&nbsp;sous péridurale&nbsp;». «&nbsp; <em>Les bons sentiments n’étaient plus vraiment présents, les mauvais sentiments non plus.</em> &nbsp;» écrit-elle. Ce n’est qu’à l’été 2021 qu’elle se laisse rattraper par ses émotions, et par la gravité de la situation, alors qu’elle assiste à un mariage. «&nbsp; <em>Le père de la mariée a fait un discours émouvant. Tout d’un coup, je me suis rendu compte que je ne vivrais jamais un tel moment, que je ne verrai jamais mon père parler de moi adulte à mon mariage. J’étais dévastée. J’ai quitté la table du dîner, je suis sortie, et j’ai fondu en larmes dans un buisson.</em> &nbsp;» se souvient-elle.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Aujourd’hui, après un long travail pour améliorer sa santé mentale, elle se rattrape en essayant de capturer chaque instant précieux passé avec la star de la saga «&nbsp;Die Hard&nbsp;». «&nbsp; <em>À chaque fois que je suis dans la maison de mon père, je prends des tonnes de photos. (…) Tous ses messages vocaux sont sauvegardés sur mon disque dur externe. J’essaie de documenter, de bâtir des archives pour le jour où il ne sera plus là pour me faire penser à lui et à nous.&nbsp; </em>» assure-t-elle. Et de conclure&nbsp;: «&nbsp; <em>Je sais que des épreuves sont à l’horizon, que ce n’est que le début de la douleur, mais aussi que toute cette idée selon laquelle il faut apprendre à s’aimer soi-même avant d’aimer quelqu’un d’autre&nbsp;: c’est vrai.&nbsp; </em>»</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id635345/article/2023-03-17/incapable-de-tenir-une-conversation-une-agressivite-constante-letat-de-bruce?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dbruce%2520willis" >«Incapable de tenir une conversation», «Une agressivité constante»: l’état de Bruce Willis ne s’arrange pas, son cousin témoigne</a> </h4> </div>
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People

/Sections/Ciné-Télé-Revue/People/672885

NL CTR quot

«Je pensais qu’il se désintéressait de moi»: Tallulah, la fille de Bruce Willis, revient sur les premiers symptômes de sa maladie

Sudinfo avec Belga

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Les membres de la famille immédiate de Halyna Hutchins, son mari Matthew Hutchins et son fils Andros Hutchins, avaient intenté une action en justice l'année dernière pour décès injustifié. Ils affirment que Baldwin et d'autres producteurs ont agi de manière imprudente, ce qui a contribué à ce qu'elle soit tuée par balle sur le plateau de tournage de "Rest" près de Santa Fe, au Nouveau-Mexique, en octobre 2021.</p><p>La famille attribue les faits à des mesures de réduction des coûts, notamment l'embauche de membres de l'équipe inexpérimentés, et au fait que les caméramans n'ont pas tenu compte des problèmes de sécurité qu'ils avaient déjà soulevés et qu'ils se sont finalement mis au travail. À l'automne dernier, les deux parties sont parvenues à un accord pour résoudre le litige civil, sous réserve de l'approbation du tribunal.</p><p>Aucun détail financier n'a été divulgué. L'approbation de l'accord met fin à une partie des retombées de la tragédie de "Rust", qui a choqué l'industrie cinématographique et soulevé de nouvelles questions sur la sécurité sur les plateaux de tournage.</p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/672530

Tir mortel d’Alec Baldwin: la justice approuve l’accord entre les producteurs de «Rust» et la famille de la victime

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Elle était surtout connue pour avoir joué en 1972 le rôle principal dans «&nbsp;Les larmes amères de Petra von Kant&nbsp;» de cet influent cinéaste.</p><p>Margit Carstensen y incarnait une prédatrice narcissique entretenant une liaison avec une femme plus jeune (Hanna Schygulla), une interprétation qui lui a valu un prix décerné par le cinéma allemand.</p><p>Deux ans plus tard, cette actrice née en 1940 à Kiel, dans le nord de l’Allemagne, a été la tête d’affiche de «&nbsp;Martha&nbsp;», un drame de Werner Fassbinder sur un mariage avec un pervers narcissique.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Elle a ensuite joué dans une série de films explorant les pièges des rôles de genre traditionnels, notamment «&nbsp;Roulette chinoise&nbsp;» (1976) et «&nbsp;Femmes à New York&nbsp;» (1977). </p><p>Au théâtre, où elle s’est produite sur les scènes les plus en vue d’Allemagne et d’Autriche, Margit Carstensen a eu une collaboration fructueuse avec le réalisateur iconoclaste Christoph Schlingensief.</p><p>Celui-ci l’a en particulier choisie pour interpréter Magda Goebbels – la femme de Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande du Troisième Reich – dans «&nbsp;100 ans d’Adolf Hitler&nbsp;».</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Il l’a également dirigée au célèbre Burgtheater de Vienne en 2004 dans «&nbsp;Bambiland&nbsp;» d’Elfriede Jelinek, l’année-même où cette femme de lettres autrichienne a remporté le prix Nobel de littérature.</p><p>Le plus grand succès commercial de Margit Carstensen a été en 1999 «&nbsp;Sonnenallee&nbsp;», une comédie sur la vie dans le Berlin-Est communiste des années 1970.</p><p>Plus récemment, elle a rejoint Hanna Schygulla et Irm Hermann dans la très populaire série télévisée allemande «&nbsp;Tatort&nbsp;», dans laquelle ces actrices interprètent un trio de femmes âgées se disant moralement obligées de tuer.</p><p>En 2019, elle a obtenu le prestigieux prix allemand Goetz George pour l’ensemble de sa carrière, le jury louant ses «&nbsp;prestations intenses et sans compromis, ses interprétations transgressives et sa concentration (…) qui ensorcèlent invariablement le public&nbsp;».</p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/672479

L’actrice allemande Margit Carstensen, star des films du réalisateur emblématique Rainer Fassbinder, est décédée à l’âge de 83 ans

Xavier Verheyden

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Les réalisateurs du film «&nbsp;Intouchables&nbsp;» viennent d’annoncer une triste nouvelle. Philippe Pozzo di Borgo, dont la vie avait inspiré du personnage de Philippe, ce milliardaire tétraplégique interprété par François Cluzet, est décédé à l’âge de 72 ans.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/p8qrul/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>«&nbsp;Nous venons d’apprendre avec une immense tristesse la disparition de notre ami Philippe Pozzo di Borgo&nbsp;», écrivent Eric Toledano et Olivier Nakache, les réalisateurs du film, sur les réseaux sociaux. «&nbsp;En acceptant que l’on adapte son histoire dans Intouchables il a changé notre vie et la vie de nombreuses personnes vulnérables et fragiles. Nous gardons l’image d’un homme courageux, digne, humble et combatif. Son humour et son intelligence vont nous manquer. L’avoir côtoyé pendant toutes ces années fut un rare privilège. Nous tenterons de poursuivre l’ensemble de ses combats. Nous pensons fort à sa femme et à ses enfants&nbsp;», concluent-ils, partageant plusieurs clichés, dont un avec Omar Sy et François Cluzet.</p><p>Sorti en 2011, le film «&nbsp;Intouchables&nbsp;» plus de 52 millions d’entrées dans le monde, avec des recettes estimées à 444 millions de dollars. Le générique de fin indiquait d’ailleurs que 5&nbsp;% des bénéfices réalisés par le film seraient reversés à une association défendant les personnes paralysées, Simon de Cyrène.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p> 
<div class="gr-media gr-media--facebook"> <div class="gr-media_href_voir_sur" style="border-style: solid; border-width: 1px" > <div class="fb-post" data-href="https://www.facebook.com/ToledanoNakache/posts/800363948119929" ></div> <div class="gr-media__placeholder gr-media__placeholder--warning"> <a class="gr-media__placeholder-link" href="https://www.facebook.com/ToledanoNakache/posts/800363948119929" target="_blank"> <span class="icon icon-facebook"></span>Voir la vue optimisée </a> </div> <div style="text-align: center"> <a style="text-decoration: none;" href="https://www.facebook.com/ToledanoNakache/posts/800363948119929" target="_blank"> Voir sur Facebook</a> </div> </div>
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 </p><p>Omar Sy a lui aussi réagi, sur Instagram, avec le même texte que les réalisateurs.</p><p> <div class="gr-media_href_voir_sur" style="border-style: solid; border-width: 1px"> <blockquote class="instagram-media" data-instgrm-captioned data-instgrm-permalink="https://www.instagram.com/p/Cs_Zn_nrmK2/?utm_source=ig_embed&amp;utm_campaign=loading" data-instgrm-version="14" style=" background:#FFF; border:0; border-radius:3px; box-shadow:0 0 1px 0 rgba(0,0,0,0.5),0 1px 10px 0 rgba(0,0,0,0.15); margin: 1px; max-width:658px; min-width:326px; padding:0; width:99.375%; width:-webkit-calc(100% - 2px); width:calc(100% - 2px);"><div style="padding:16px;"> <a href="https://www.instagram.com/p/Cs_Zn_nrmK2/?utm_source=ig_embed&amp;utm_campaign=loading" style=" background:#FFFFFF; line-height:0; padding:0 0; text-align:center; text-decoration:none; width:100%;" target="_blank"> <div style=" display: flex; flex-direction: row; align-items: center;"> <div style="background-color: #F4F4F4; border-radius: 50%; flex-grow: 0; height: 40px; margin-right: 14px; width: 40px;"></div> <div style="display: flex; flex-direction: column; flex-grow: 1; justify-content: center;"> <div style=" background-color: #F4F4F4; border-radius: 4px; flex-grow: 0; height: 14px; margin-bottom: 6px; width: 100px;"></div> <div style=" background-color: #F4F4F4; border-radius: 4px; flex-grow: 0; height: 14px; width: 60px;"></div></div></div><div style="padding: 19% 0;"></div> <div style="display:block; height:50px; margin:0 auto 12px; width:50px;"><svg width="50px" height="50px" viewBox="0 0 60 60" version="1.1" xmlns="https://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="https://www.w3.org/1999/xlink"><g stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd"><g transform="translate(-511.000000, -20.000000)" fill="#000000"><g><path d="M556.869,30.41 C554.814,30.41 553.148,32.076 553.148,34.131 C553.148,36.186 554.814,37.852 556.869,37.852 C558.924,37.852 560.59,36.186 560.59,34.131 C560.59,32.076 558.924,30.41 556.869,30.41 M541,60.657 C535.114,60.657 530.342,55.887 530.342,50 C530.342,44.114 535.114,39.342 541,39.342 C546.887,39.342 551.658,44.114 551.658,50 C551.658,55.887 546.887,60.657 541,60.657 M541,33.886 C532.1,33.886 524.886,41.1 524.886,50 C524.886,58.899 532.1,66.113 541,66.113 C549.9,66.113 557.115,58.899 557.115,50 C557.115,41.1 549.9,33.886 541,33.886 M565.378,62.101 C565.244,65.022 564.756,66.606 564.346,67.663 C563.803,69.06 563.154,70.057 562.106,71.106 C561.058,72.155 560.06,72.803 558.662,73.347 C557.607,73.757 556.021,74.244 553.102,74.378 C549.944,74.521 548.997,74.552 541,74.552 C533.003,74.552 532.056,74.521 528.898,74.378 C525.979,74.244 524.393,73.757 523.338,73.347 C521.94,72.803 520.942,72.155 519.894,71.106 C518.846,70.057 518.197,69.06 517.654,67.663 C517.244,66.606 516.755,65.022 516.623,62.101 C516.479,58.943 516.448,57.996 516.448,50 C516.448,42.003 516.479,41.056 516.623,37.899 C516.755,34.978 517.244,33.391 517.654,32.338 C518.197,30.938 518.846,29.942 519.894,28.894 C520.942,27.846 521.94,27.196 523.338,26.654 C524.393,26.244 525.979,25.756 528.898,25.623 C532.057,25.479 533.004,25.448 541,25.448 C548.997,25.448 549.943,25.479 553.102,25.623 C556.021,25.756 557.607,26.244 558.662,26.654 C560.06,27.196 561.058,27.846 562.106,28.894 C563.154,29.942 563.803,30.938 564.346,32.338 C564.756,33.391 565.244,34.978 565.378,37.899 C565.522,41.056 565.552,42.003 565.552,50 C565.552,57.996 565.522,58.943 565.378,62.101 M570.82,37.631 C570.674,34.438 570.167,32.258 569.425,30.349 C568.659,28.377 567.633,26.702 565.965,25.035 C564.297,23.368 562.623,22.342 560.652,21.575 C558.743,20.834 556.562,20.326 553.369,20.18 C550.169,20.033 549.148,20 541,20 C532.853,20 531.831,20.033 528.631,20.18 C525.438,20.326 523.257,20.834 521.349,21.575 C519.376,22.342 517.703,23.368 516.035,25.035 C514.368,26.702 513.342,28.377 512.574,30.349 C511.834,32.258 511.326,34.438 511.181,37.631 C511.035,40.831 511,41.851 511,50 C511,58.147 511.035,59.17 511.181,62.369 C511.326,65.562 511.834,67.743 512.574,69.651 C513.342,71.625 514.368,73.296 516.035,74.965 C517.703,76.634 519.376,77.658 521.349,78.425 C523.257,79.167 525.438,79.673 528.631,79.82 C531.831,79.965 532.853,80.001 541,80.001 C549.148,80.001 550.169,79.965 553.369,79.82 C556.562,79.673 558.743,79.167 560.652,78.425 C562.623,77.658 564.297,76.634 565.965,74.965 C567.633,73.296 568.659,71.625 569.425,69.651 C570.167,67.743 570.674,65.562 570.82,62.369 C570.966,59.17 571,58.147 571,50 C571,41.851 570.966,40.831 570.82,37.631"></path></g></g></g></svg></div><div style="padding-top: 8px;"> <div style=" color:#3897f0; 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overflow:hidden; padding:8px 0 7px; text-align:center; text-overflow:ellipsis; white-space:nowrap;"><a href="https://www.instagram.com/p/Cs_Zn_nrmK2/?utm_source=ig_embed&amp;utm_campaign=loading" style=" color:#c9c8cd; font-family:Arial,sans-serif; font-size:14px; font-style:normal; font-weight:normal; line-height:17px; text-decoration:none;" target="_blank">A post shared by Omar Sy (@omarsyofficial)</a></p></div></blockquote>
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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/672350

A ne pas rater

Epinglé Sudinfo

Philippe Pozzo di Borgo, qui avait inspiré le film «Intouchables», est décédé: les réalisateurs Eric Toledano et Olivier Nakache lui rendent hommage

X.V.

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Le monde du cinéma est en deuil. L’acteur américain Sergio Calderón, connu pour son rôle du capitaine Eduardo Villanueva dans «&nbsp;Pirates des Caraïbes&nbsp;: jusqu’au bout du monde&nbsp;» est mort à l’âge de 77 ans. Il était également apparu dans «&nbsp;Men in Black&nbsp;», en 1997, en incarnant le personnage de Jose alias Mikey.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/quv5vkq/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Selon le site Deadline, l’acteur est décédé ce 31 mai, de causes naturelles.</p><p>Sergio Calderón avait débuté sa carrière au début des années 1970, en enchaînant les petits rôles, notamment dans «&nbsp;Il était une fois… la révolution&nbsp;» de Sergio Leone.</p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/671930

Sergio Calderón («Pirates des Caraïbes», «Men in Black») est mort à l’âge de 77 ans

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Et une redif de plus, une! L’époque où la case du jeudi était réservée aux grandes premières télévisées est révolue, et la chaîne privée nous sort davantage du réchauffé que de l’inédit depuis plusieurs mois. Place donc à «Camping 3», sorti en salle en 2016. S’il n’y a pas grand-chose à raconter sur la saga cinématographique qui n’ait déjà été dit, un livre, «Bienvenue au Camping des Flots bleus» est sorti en avril, retraçant l’histoire du véritable camping qui a accueilli le tournage des trois films.</p><p>Il s’agit du Camping de la Dune, qui se trouve dans le bassin d’Arcachon, sur la côte atlantique, au pied de la plus haute dune d’Europe: la Grande dune du Pilat. Il a été fondé en 1966 et, suite au succès du premier film, avait rajouté à son nom le titre de Camping des Flots bleus, pour surfer sur le succès phénoménal du long métrage et de la horde de nouveaux touristes désireux de poser leur tente à l’endroit où Patrick Chirac a campé. Et pourtant, ce lieu devenu mythique grâce au cinéma a bien failli disparaître en 2022, complètement ravagé par un incendie qui a engendré pas moins de 8 millions d’euros de dégâts. Au milieu d’un amas de tôles et d’arbres calcinés, seules la réception, la supérette et la scène de bal des Flots bleus ont échappé aux flammes.</p><p>Le réalisateur de la trilogie, Fabien Onteniente, qui se trouvait dans la région au moment du sinistre, avait livré son témoignage sur la catastrophe à laquelle il a assisté impuissant: «On voyait ces épaisses fumées noires, évidemment on priait pour que notre camping ne soit pas touché mais hier soir, j’ai vu le vent tourner. Je suis catastrophé par ce drame.» Franck Dubosc avait aussi réagi sur Twitter et Instagram, en publiant une photo de son mythique personnage accompagnée de la légende: «Aujourd’hui Patrick pleure…» Et d’ajouter: «On le reconstruira, notre camping!»</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Mais, tel un phénix, le Camping des Flots bleus a pu renaître de ses cendres et a rouvert partiellement ses portes en avril. Trente-deux tentes lodges et six mobile homes ont été remis à neuf. «On reconstruit à l’identique. On a refait les réseaux électriques, d’eau et d’assainissement car 80% des tuyaux avaient brûlé», explique le gérant, Franck Couderc, qui en a profité pour faire un camping plus écolo avec l’installation de panneaux photovoltaïques ou la récupération des eaux de pluie. Une réouverture un peu précipitée, à seulement 50% des capacités, mais que le gérant assume: «On a vécu un traumatisme et aujourd’hui, on a besoin de tourner la page.» C’est aussi cette catastrophe qui lui a donné envie d’écrire le livre sur l’histoire du camping, dont la préface est signée par Franck Dubosc en personne.</p><h2> Un quatrième film </h2><p>Quant à savoir si un quatrième film sera tourné, Dubosc ne l’envisage pas dans l’immédiat, mais il ne ferme pas la porte non plus. «Un scénario solide et une volonté farouche peuvent faire basculer toutes les certitudes», confie-t-il. Mais il faudra faire avec son âge (il aura 60 ans en novembre) et faire son deuil de Mylène Demongeot et Claude Brasseur, tous deux décédés depuis le troisième film.</p><p> <strong>«Camping 3&nbsp;», 1er juin, 20h30, RTL tvi.</strong> </p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Ce soir à la télé/669797

Le Camping des Flots bleus renaît de ses cendres

M.R.

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>«&nbsp;Charly et Paula ont bien du mal à trouver leur place dans la hiérarchie du lycée, mais au moins, ils sont amis et se soutiennent. Mais quand le pénis de Charly («&nbsp;Willy&nbsp;») et le vagin de Paula («&nbsp;Ouh-Ah&nbsp;») commencent à communiquer leurs besoins urgents, les adolescents doivent défendre non seulement leur statut au lycée, mais aussi leur amitié, car leurs organes génitaux ont d’autres plans pour eux. Entre les douloureuses intrigues scolaires et les fêtes qui dégénèrent, Charly et Paula découvrent leurs désirs naturels. Ils réalisent alors que leurs corps sont plus beaux, et leur relation plus torride, qu’ils ne le pensaient.&nbsp;» Voilà le résumé complètement lunaire de cette comédie qui l’est tout autant, baptisée<strong> «&nbsp;Ils ne pensent vraiment qu’à ça&nbsp;»,</strong> à découvrir dès maintenant sur Netflix.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qkxsr0r/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Ce film est en réalité un remake de deux blockbusters allemands sortis dans les années 2000. Et cela ne nous étonne pas. Le ton est délibérement celui de ces comédies lourdingues à l’américaine comme «&nbsp;American Pie&nbsp;», «&nbsp;Sex Academy&nbsp;» ou «&nbsp;Lolita malgré moi&nbsp;», sorties à l’aube du XXIème siècle. Sauf qu’ici, ça parle Allemand. Mais si la langue de Goethe vous irrite, vous pouvez toujours opter pour le doublage en français, qui lui aussi, rappelle diablement ceux de ces teen movies qu’on adorait regarder pour se vider le cerveau. Sur ce point, «&nbsp;Ils ne pensent vraiment qu’à ça&nbsp;» remplit parfaitement son contrat. C’est bête, lourd et beaucoup trop porté sur la chose. Mais il y a dans ce film une dose de nostalgie qui ravira les ados ayant grandi au temps des GSM à clapets et des jeans taille basse. Même si l’action se situe bel et bien en 2023.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id669083/article/2023-05-25/netflix-belgique-quelles-sont-les-sorties-du-mois-de-juin-2023?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dnetflix%2520juin" >Netflix Belgique: quelles sont les sorties du mois de juin 2023?</a> </h4> </div>
 </p><p>À vrai dire, la série&nbsp;actuelle qui s’en rapprocherait le plus est «&nbsp;Sex Education&nbsp;».&nbsp;Car «&nbsp;Ils ne pensent vraiment pas qu’à ça&nbsp;» aborde la question de la puberté de façon 100&nbsp;% décomplexée.&nbsp;De quoi plaire au plus grand nombre.&nbsp;Sorti il y a seulement cinq jours, le film fait déjà partie du top 5 des&nbsp;longs-métrages les plus vus sur Netflix en Belgique.</p></div>

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Netflix

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Streaming/Netflix/670520

Des lycéens qui parlent avec… leurs organes génitaux: «Ils ne pensent vraiment qu’à ça», un «American Pie» allemand qui cartonne sur Netflix

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Ce samedi soir, Cannes remballait son tapis rouge. Après douze jours de projections, le palmarès de cette 76ème édition du Festival international du film a été dévoilé. Et la Palme d’Or est revenue à la Française <strong>Justine Triet</strong> pour son long-métrage «&nbsp;Anatomie d’une chute&nbsp;». </p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/q3z0sff/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id670135/article/2023-05-27/festival-de-cannes-2023-la-ministre-de-la-culture-se-dit-estomaquee-par-le?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dcannes" >Festival de Cannes 2023: la ministre de la Culture se dit «estomaquée» par le discours de Triet après sa Palme d’or (vidéo)</a> </h4> </div>
 </p><p>Si la réalisatrice de 44 ans&nbsp;a prononcé&nbsp;un discours engagé contre l’attitude du gouvernement français face à la vague de protestation envers la réforme des retraites, elle s’est ensuite laissé emporter, en oubliant complètement de prendre avec elle son parchemin remis par Jane Fonda, symbolisant sa victoire.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id670108/article/2023-05-27/festival-de-cannes-la-palme-dor-pour-la-francaise-justine-triet-3e-realisatrice?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dcannes" >Festival de Cannes: la Palme d’or pour la Française Justine Triet, 3e réalisatrice sacrée de l’histoire (vidéo)</a> </h4> </div>
 </p><p>Voyant la réalisatrice se diriger vers le jury sans son «&nbsp;diplôme&nbsp;», Jane Fonda le&nbsp;lui a tout simplement balancé dans le dos… voire sur la tête&nbsp;! Plus de peur que de mal, il s’agissait juste d’un bout de papier. Ce geste aussi improbable&nbsp;soit-il a évidemment&nbsp;interpellé l’assemblée, à la fois amusée et surprise de voir l’actrice de 85 ans s’adonner à un tel&nbsp;lancer franc, digne d’un joueur de baseball.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p> <div class="gr-media_href_voir_sur" style="border-style: solid; border-width: 1px"> <div class="gr-media gr-media--twitter"> <blockquote class="twitter-tweet" lang="en"><a href="https://twitter.com/ThomasLevyLasne/status/1662561237949902851"></a></blockquote> <script async src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script> </div> <div style="text-align: center"> <a style="text-decoration: none;" href="https://twitter.com/ThomasLevyLasne/status/1662561237949902851" target="_blank"> Voir sur Twitter</a> </div>
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 </p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id666838/article/2023-05-19/il-voulait-coucher-avec-moi-un-celebre-realisateur-francais-accuse-de?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Djane%2520fonda" >«Il voulait coucher avec moi»: un célèbre réalisateur français accusé de harcèlement sexuel par Jane Fonda</a> </h4> </div>
 </p><p>La séquence a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. À noter que le document a rapidement été remis en main propre à la réalisatrice par les autres personnes présentes sur scène. </p></div>

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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/670212

Ce geste improbable de Jane Fonda qui a marqué la cérémonie de clôture du Festival de Cannes (vidéo)

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>C’est au «&nbsp;Hollywood Reporter&nbsp;» que le fils de <strong>Gary Kent</strong>, Chris, a annoncé le décès de son père. L’acteur et cascadeur était âgé de 89 ans et résidait dans un établissement de soins assistés au Texas. Selon «&nbsp;The Austin Chronicles&nbsp;», il sera incinéré et ses cendres seront dispersées dans l’océan Pacifique. L’homme laisse derrière lui six enfants, Chris, Greg, Colleen, Andrew, Alex et Michael, et quatre petits-enfants.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id669654/article/2023-05-26/deces-de-tina-turner-voici-de-quoi-est-morte-la-reine-du-rocknroll?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dtina%2520turner" >Décès de Tina Turner: voici de quoi est morte la «Reine du rock’n’roll»</a> </h4> </div>
 </p><p>Gary Kent est né en 1933, dans l’Etat de Washington. Après des études&nbsp;de journalisme, il décidera de quitter les bancs de l’école pour entrer dans la Naval Air Force, au Texas. Peu après, il déménagera à Hollywood pour entamer une carrière de cascadeur. Dans les années 1960, il parviendra à se faire un nom sur les plateaux de tournage. Il souffrira tout de même de nombreuses blessures. Sur le tournage de «&nbsp;Hells Angels on Wheels&nbsp;», il s’était tranché le bras sur du verre brisé.&nbsp;Sur celui de «&nbsp;The Savage Seven&nbsp;», il fut écrasé par une moto.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id669024/article/2023-05-25/deces-de-tina-turner-afida-turner-va-t-elle-toucher-une-partie-de-lheritage-de?referer=%2Farchives%2Frecherche%2Fpaywall%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2520desc%26word%3Dtina%2520turner" >Décès de Tina Turner: Afida Turner va-t-elle toucher une partie de l’héritage de la star?</a> </h4> </div>
 </p><p>Ses années de gloire derrière lui, il poursuivra tout de même le métier de cascadeur jusqu’en 2002, de manière plus sporadique. C’est en 2019 qu’il reviendra indirectement sur le devant de la scène, en inspirant le personnage campé par Brad Pitt dans le film de Tarantino, «&nbsp;Once&nbsp;Upon a Time…&nbsp;in Hollywood&nbsp;», où Brad incarne la doublure cascade d’un acteur star des sixties à Hollywood, joué par DiCaprio. Gary Kent avait ainsi servi d’inspiration au personnage de Cliff Booth, qui avait valu à Brad Pitt un Oscar du meilleur second rôle.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qkqrq3q/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/670191

Le monde du cinéma en deuil: Gary Kent, l’acteur et cascadeur qui avait inspiré un personnage campé par Brad Pitt, est mort à l’âge de 89 ans

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>La cinéaste de 44 ans succède à Jane Campion («&nbsp;La leçon de piano&nbsp;», 1993) et Julia Ducournau («&nbsp;Titane&nbsp;», 2021), confirmant le lent mouvement vers l’égalité dans une industrie du cinéma historiquement dominée par les hommes.</p><p>En recevant son prix, la cinéaste a vivement dénoncé la façon dont le gouvernement français a «&nbsp;nié de façon choquante&nbsp;» le mouvement contre la réforme des retraites.</p><p>«&nbsp;Ce schéma de pouvoir dominateur, de plus en plus décomplexé, éclate dans plusieurs domaines&nbsp;», a-t-elle ajouté, estimant que le pouvoir cherchait aussi à «&nbsp;casser l’exception culturelle sans laquelle (elle) ne serait pas là aujourd’hui&nbsp;».</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Justine Triet accède au sommet du cinéma après quatre films, dont «&nbsp;Sibyl&nbsp;», déjà sélectionné à Cannes et autant de portraits de femmes.</p><h2> Le cinéma français à l’honneur </h2><p>Ce nouveau couronnement d’une jeune réalisatrice française témoigne aussi du succès des réalisations tricolores dans les festivals internationaux, avec le Lion d’or remis à Audrey Diwan en 2021 à Venise pour «&nbsp;L’événement&nbsp;» et l’Ours d’or en février à Nicolas Philibert pour «&nbsp;Sur l’adamant&nbsp;».</p><p>Le jury, présidé par Ruben Östlund et où siégeait également Julia Ducournau, a choisi un film qui raconte le procès d’une veuve (Sandra Hüller) accusée aux assises d’avoir tué son mari. L’occasion de disséquer les dynamiques de pouvoir au sein d’un couple d’artistes aisés et d’exposer les préjugés sociaux auxquels se heurtent les femmes indépendantes.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Le jury a également envoyé un message contemporain sur l’effroyable banalité du mal, en donnant le Grand prix à Jonathan Glazer pour «&nbsp;The Zone of Interest&nbsp;», sur la vie quotidienne du commandant nazi d’Auschwitz, une oeuvre radicale.</p><p>Le prix de la mise en scène est allé à Tran Anh Hùng pour «&nbsp;La passion de Dodin Bouffant&nbsp;», film d’époque sur la gastronomie française avec Benoît Magimel, et celui du jury à Aki Kaurismäki pour «&nbsp;Les feuilles mortes&nbsp;».</p><p>L’actrice turque Merve Dizdar a dédié son prix d’interprétation dans «&nbsp;Les herbes sèches&nbsp;» de Nuri Bilge Ceylan «&nbsp;à toutes les femmes qui mènent une lutte pour surmonter les difficultés existantes dans ce monde&nbsp;».</p><p>Le prix d’interprétation masculine est allé à Koji Yakusho pour son rôle de nettoyeur de toilettes publiques à Tokyo dans «&nbsp;Perfect Days&nbsp;», film onirique de Wim Wenders.</p><p>Avant la remise du prix du scénario à Sakamoto Yuji pour «&nbsp;Monster&nbsp;» de Kore-eda, l’acteur américain John C. Reilly a fait silence sur scène en hommage «&nbsp;à tous ceux qui écrivent et donnent naissance aux grands films&nbsp;», en pleine grève des scénaristes à Hollywood.</p><p>Le jury du suédois Suédois Östlund devait départager 21 cinéastes, dont 7 réalisatrices. Ce palmarès met un terme à la 76e édition, présidée pour la première fois par Iris Knobloch, ancienne de Warner.</p><p>Elle fut marquée par des polémiques sur le come-back de Johnny Depp, après ses procès pour diffamation autour d’accusations de violences conjugales, par une présence en force du cinéma du continent africain, et des jeunes réalisatrices.</p><p>L’une d’entre elles, Molly Manning Walker a reçu le prix Un Certain Regard pour «&nbsp;How To Have Sex&nbsp;», et deux autres se partagent l’Oeil d’or du meilleur documentaire, Kadib Abyad «&nbsp;La mère de tous les mensonges&nbsp;» et Kaouther Ben Hania («&nbsp;Les filles d’Olfa&nbsp;», sur la radicalisation d’adolescentes tunisiennes).</p><p>L’édition a aussi été marquée par une nouvelle démonstration de la lune de miel entre Cannes et Hollywood&nbsp;: en 12 jours, le tapis rouge aura accueilli Martin Scorsese, Leonardo DiCaprio et Robert De Niro (pour «&nbsp;Killers of the Flower Moon&nbsp;») ou encore Harrison Ford, venu faire ses adieux à «&nbsp;Indiana Jones&nbsp;».</p><p>Quant au film de clôture, le festival renoue avec la tradition de programmer la dernière création des studios Pixar, rachetés par Disney&nbsp;: le film d’animation «&nbsp;Elémentaire&nbsp;», qui sortira en juin, a été présenté en avant-première mondiale après la cérémonie.</p><h2> Le palmarès du 76e Festival de Cannes </h2><p> <strong>–&nbsp;Palme d’or -</strong> </p><p>Justine Triet pour «&nbsp;Anatomie d’une chute&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Grand Prix -</strong> </p><p>Jonathan Glazer pour «&nbsp;The Zone of Interest&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Prix de la mise en scène -</strong> </p><p>Tran Anh Hung pour «&nbsp;La passion de Dodin Bouffant&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Prix du Jury -</strong> </p><p>Aki Kaurismäki pour «&nbsp;Les feuilles mortes&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Prix du scénario -</strong> </p><p>Sakamoto Yuji pour «&nbsp;Monster&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Prix d’interprétation féminine -</strong> </p><p>Merve Dizdar pour «&nbsp;Les herbes sèches&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Prix d’interprétation masculine -</strong> </p><p>Koji Yakusho pour «&nbsp;Perfect days&nbsp;»</p><p> <strong>–&nbsp;Caméra d’or -</strong> </p><p>«&nbsp;L’arbre aux papillons d’or&nbsp;» de Thien An Pham</p><p> <strong>–&nbsp;Palme d’or du court métrage -</strong> </p><p>«&nbsp;27&nbsp;» de Flóra Anna Buda</p><p> <strong>–&nbsp;Palmes d’or d’honneur -</strong> </p><p>Michael Douglas et Harrison Ford</p><h2> La cérémonie en vidéo </h2><p> <div class="gr-media gr-media--video gr-media--youtube"> <iframe class="gr-media__content" src="https://www.youtube.com/embed/utz-HLzvx7M?html5=1" frameborder="0" allowfullscreen="" width="100%" height="500" ></iframe>
</div> </p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/670108

Festival de Cannes: la Palme d’or pour la Française Justine Triet, 3e réalisatrice sacrée de l’histoire (vidéo)

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Avec la saga du «&nbsp;Gendarme de Saint-Tropez&nbsp;», les trois épisodes de «&nbsp;La 7ème compagnie&nbsp;» figurent haut la main parmi les films les plus rediffusés à la télé. Impossible de passer une année sans que Pithivier, Chaudard et Tassin ne pointent le bout de leur casque sur le petit écran. Il n’y avait donc aucune raison pour qu’on y échappe, et RTL n’a, cette fois, même pas attendu le début de l’été pour dégainer les longs métrages, qui sont, il est vrai, la garantie d’une bonne audience à bas prix.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/qur3urf/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Mais pour de nombreux fans de la trilogie, il reste un grand mystère&nbsp;: pourquoi Aldo Maccione, qui campait Tassin dans le premier film, est-il remplacé dans les deux suivants par Henri Guybet&nbsp;? A l’époque, le futur interprète de «&nbsp;Plus beau que moi, tu meurs&nbsp;» n’est pas encore la star incontournable des comédies franchouillardes qu’il deviendra dans les années 80. Mais il a déjà tapé dans l’œil de plusieurs cinéastes, à commencer par Claude Lelouch qui, séduit par sa fameuse démarche cambrée qui deviendra par la suite sa marque de fabrique, lui donne son premier rôle au cinéma dans «&nbsp;Le voyou&nbsp;» en 1970 et l’engage deux ans plus tard pour «&nbsp;L’aventure c’est l’aventure&nbsp;». C’est à ce moment-là qu’il est aussi choisi pour jouer Tassin dans «&nbsp;Mais où est donc passée la 7ème compagnie&nbsp;?&nbsp;».</p><p>Cependant, le tournage ne va pas se passer pour le mieux entre le comédien et le réalisateur, Robert Lamoureux, qui lui reproche de ne pas être assez rigoureux dans son travail et de prendre son rôle trop à la légère. À cela s’ajoutait un comportement de diva. Pour Lamoureux, Aldo n’avait pas spécialement la grosse tête, «&nbsp;mais il était comme un gros bébé, avec tout ce que ça comporte de caprices, de colères, de c’est moi le plus beau, c’est moi le plus fort&nbsp;». En outre, Maccione ne s’entend pas spécialement avec les autres comédiens, à commencer par Jean Lefebvre, accro aux jeux d’argent et à la boisson et arrivant souvent en retard sur le plateau. Et ce qui agaçait encore plus Aldo, c’était que l’interprète de Pithivier n’avait pas droit aux mêmes remontrances du cinéaste que lui. Un deux poids, deux mesures qui l’énervait au plus haut point. L’acteur italien va même jusqu’à quitter un jour le plateau pour appeler le producteur et lui faire part de son mécontentement.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id665654/article/2023-05-16/maiwenn-t-elle-pris-parti-pour-johnny-depp-face-amber-heard-en-lui-offrant-le" >Maïwenn a-t-elle pris parti pour Johnny Depp face à Amber Heard en lui offrant le rôle de Louis XV dans «Jeanne du Barry»? Elle répond!</a> </h4> </div>
 </p><h2> Affaire de gros sous </h2><p>L’affaire aurait pu en rester là. Sauf que «&nbsp;La 7ème compagnie&nbsp;» va connaître un énorme succès et qu’une suite est mise en chantier. Robert Lamoureux dans un premier temps va proposer à Aldo Maccione de rempiler, mais celui-ci va faire monter les enchères et demander une augmentation de salaire. Pas question. Exit donc Aldo, place à Henri Guybet, issu de la bande du Café de la Gare, qui commençait à être connu depuis qu’il avait campé le chauffeur juif de Louis de Funès dans «&nbsp;Les aventures de Rabbi Jacob&nbsp;». En plus, il s’entendait déjà bien avec Jean Lefebvre, avec qui il venait de tourner «&nbsp;Pas de problème&nbsp;».</p><p>Henri Guybet va ainsi devenir un des seconds rôles les plus prisés des comédies françaises des années 70. Mais que ce soit lui ou Aldo Maccione, leur carrière s’essoufflera à partir de la fin des années 80. Tous les deux sont toujours bien en vie et affichent d’ailleurs quasiment le même âge&nbsp;: 86 et 87 ans. Comme quoi, le rire, ça conserve&nbsp;!</p><p> <strong>«&nbsp;On a retrouvé la 7ème compagnie&nbsp;!&nbsp;», 27 mai, 20h35, RTL tvi.</strong> </p></div>

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                <p><div class="atom_class_video"><span></span></div></p>
                
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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Ce soir à la télé/668240

«On a retrouvé la 7ème compagnie!»: pourquoi Aldo Maccione est remplacé par Henri Guybet

Stanislas Ide

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="question"><strong> «&nbsp;May December&nbsp;» est un film est assez délirant. C’était clair dès la lecture du scénario&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> C’était l’attrait&nbsp;! Je me réjouissais de faire partie d’un film avec deux personnages aussi complexes, le mien et celui de Julianne Moore. Elle joue une femme d’une cinquantaine d’années qui, vingt ans avant le début du film, a entamé une relation amoureuse avec un ado de treize ans. Et qui vit toujours avec lui quand j’arrive chez elle pour préparer un film inspiré de leur rencontre. Je sentais d’emblée que ce serait délicieux d’explorer l’histoire un peu barjo de ces deux âmes sinueuses dans une situation tordue. </em></p><p class="question"><strong> Où avez-vous cherché de l’inspiration pour jouer cette actrice un peu fouille-merde&nbsp;? </strong></p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="reponse"><em> Comme vous le savez, j’ai commencé mon métier d’actrice assez tôt (à l’âge de treize ans dans «&nbsp;Léon&nbsp;» de Luc Besson, NDLR). J’avais donc une vie presque entière dans laquelle puiser. J’ai aussi pensé au travail de recherche que j’avais effectué pour préparer le biopic sur Jackie Kennedy. Je comprends donc totalement le point de départ de mon personnage dans «&nbsp;May December&nbsp;». Et comme cette histoire d’amour entre une femme et un ado est basée sur des faits réels (l’histoire de la prof américaine Mary Kay Letourneau, tombée amoureuse de son élève de douze ans à peine en 1996, NDLR), il y avait aussi toute la matière publiée dans la presse à scandale, qui a largement couvert l’affaire à l’époque. Avec des titres sensationnalistes comme «&nbsp;Punie pour aimer&nbsp;», pas très subtils mais racontant quelque chose sur notre tendance à vouloir absorber les histoires des autres. </em></p><p class="question"><strong> Il y a une scène assez gênante où Julianne Moore commente le poids de sa fille devant vous. Comment avez-vous vécu ce moment&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Je le trouve brillant car le film parle de l’idée de la performance du féminin. À quel point se pare-t-on d’idées reçues sur la féminité&nbsp;? Le fait-on pour soi ou pour les autres&nbsp;? C’est un thème présent dans tous les films de Todd (Haynes, le réalisateur, NDLR). Si on y pense, c’est un peu le cas ici aussi, au Festival de Cannes. En tant que femmes, nous sommes supposées nous comporter différemment que les hommes. Dans nos tenues de gala, dans notre allure. Les attentes sont autres et bien plus élevées. Alors bien sûr, ça joue sur notre façon d’être. Qu’on s’y complaise ou qu’on le rejette d’ailleurs. Quoi qu’on fasse, nous sommes définies par les structures sociales qui nous entourent. </em></p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p class="question"><strong> Vous avez découvert le scénario et l’avez envoyé au réalisateur Todd Haynes. Pourquoi lui spécifiquement&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> C’était un rêve de pouvoir créer ce film avec lui et Julianne, qui avait déjà joué dans quatre de ses films. Il avait déjà exploré le côté obscur des idéaux américains sur les banlieues bourgeoises dans «&nbsp;Carol&nbsp;» et «&nbsp;Loin du paradis&nbsp;». C’est cette vision-là qui m’a fait penser à lui. Il a la capacité de créer une tension folle dans ces environnements proprets. Il y a toujours une contradiction à l’écran, comme des couleurs chaudes dans un moment glacial, ou une musique exagérément dramatique dans un instant banal. Je trouve ça assez extrême, et surtout très drôle. J’aime cette faculté à trouver de l’humour taquin au milieu du drame. </em></p><p class="question"><strong> À quoi ressemblait votre duo avec Julianne Moore en coulisses&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em><p>C’était un duo amusant, efficace et plein de sens. On ne se connaissait pas vraiment avant le tournage. Je savais juste qu’elle me fascinait et j’ai réalisé lors de notre première scène ensemble que je la regardais au point d’oublier que j’étais aussi dedans (rires). Ma chance, c’est que mon personnage l’observe et l’étudie pendant le film entier, je ne me suis donc pas gênée pour continuer (rires).<cci:bullet class="macro" displayname="PUCE" name="bullet"/> </p> </em></p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/669388

Festival de Cannes

Festival de Cannes: Natalie Portman joue avec son image d’actrice

Jean-Jacques Lecocq

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Jamais avant «&nbsp;La petite sirène&nbsp;», qui arrive en salle ce mercredi 24 mai, un remake live d’un classique Disney n’aura autant suscité la polémique avant même sa sortie. Mais cette fois, ça y est, les gens vont pouvoir se faire leur propre idée.</p><p> &nbsp; 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/q8srfzz/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>Plus long, avec quatre chansons supplémentaires et des scènes en plus «&nbsp;sur la terre ferme&nbsp;», quand Ariel a perdu la voix mais a gagné des jambes, le film de Rob Marshall reprend la même trame que le dessin animé de 1989. Ariel, fille cadette du roi Triton, rêve du monde inaccessible des humains, qui la fascine. Au cours d’une tempête, elle sauve le prince Eric. C’est le coup de foudre. Mais comment une sirène pourrait-elle se faire aimer d’un humain, en plus à l’insu de son paternel, remonté contre cette engeance polluante. C’est là qu’intervient la sœur du roi, la sorcière des mers Ursula, qui va pousser Ariel dans un piège, en lui proposant d’échanger sa voix contre des jambes. En l’alertant qu’elle n’aura que trois jours pour embrasser son prince avant d’avoir à rendre des comptes…</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/05/24/node_668641/54830272/public/2023/05/24/B9734349990Z.1_20230524141027_000%2BG7HMR1MQS.1-0.jpg?itok=H1AitG2y1684930593" data-width="" data-height="" alt="Halle Bailey, charmante sirène, peut importe sa couleur! © Walt Disney" /><figcaption>Halle Bailey, charmante sirène, peut importe sa couleur! © Walt Disney</figcaption></figure> </p><p>En modifiant certaines paroles de chansons pour éviter les critiques sur l’absence de consentement et mettre l’accent sur l’égalité, en donnant le rôle principal à une comédienne noire, le film se montre surtout plus ouvert et fait sien, en somme, le message déjà présent dans le dessin animé&nbsp;: il faut savoir dépasser ses différences pour aller vers l’autre. Ce qui était déjà présent dans le conte d’Andersen… Avec Rob Marshall à la manette, le film remplit haut la nageoire son programme.</p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/05/24/node_668641/54830271/public/2023/05/24/B9734349990Z.1_20230524141027_000%2BG7HMR1MQH.1-0.jpg?itok=g5vk7yOb1684930593" data-width="" data-height="" alt="Melissa McCarthy, irrésistible sorcière des mers. © Walt Disney" /><figcaption>Melissa McCarthy, irrésistible sorcière des mers. © Walt Disney</figcaption></figure> </p></div><div id="rossel-imu-center-mobile2" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Ciné-Télé-Revue a eu la chance d’interviewer Halle Bailey, qui interprète Ariel, ainsi que Javier Bardem, qui joue le roi Triton, ou encore Melissa McCarthy, flamboyante pieuvre Ursula&nbsp;! <strong>Des interviews à retrouver dans votre Ciné-Télé-Revue de ce jeudi.</strong> Mais voici déjà l’intégralité de notre entretien avec Melissa McCarthy.</p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id668613/article/2023-05-24/cette-controverse-ne-ma-pas-vraiment-affectee-halle-bailey-ariel-dans-le-remake" >«Cette controverse ne m’a pas vraiment affectée»: Halle Bailey, Ariel dans le remake live de «La petite sirène», revient sur les polémiques suscitées par le film</a> </h4> </div>
 </p><p class="question"><strong> Qu’est-ce qui a été le plus grand challenge, chanter ou vous transformer en pieuvre, sorcière des mers&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Les deux ont été un défi&nbsp;! C’est le chant qui m’a le plus énervée. Ce n’est pas mon terrain de jeu habituel. Je suis une grande fan de l’Ursula originale, je voulais vraiment lui rendre justice. Mais j’ai aussi voulu me l’approprier, apporter quelque chose de nouveau. À un moment, il a fallu que j’oublie mon stress et que je donne tout ce que j’avais. Et il s’est avéré que c’était très amusant. Mais en même temps, je dois dire que tous ces tentacules… Pendant les répétitions, j’avais huit danseurs autour de moi qui manipulaient d’énormes tentacules de 3 mètres de long… C’est le genre d’expérience qu’on ne vit qu’une fois dans sa vie&nbsp;! </em></p><p class="question"><strong> Comment appréhendiez-vous ce rôle&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Ursula est très drôle, et manipulatrice. Elle est confiante à l’extrême, mais en même temps, j’ai beaucoup pensé à ce qui l’a touchée, ses insécurités. Elle vit isolée de sa famille. Un conflit entre le roi Triton et Ursula, frère et sœur, c’est différent d’une opposition classique entre le Bien et le Mal. C’est beaucoup plus personnel et troublant quand ceux qui sont censés vous aimer le plus vous rejettent. J’ai même pensé que ça pouvait toucher sa santé mentale. Pour moi, c’est plus pertinent de se demander pourquoi une personne agit mal. Une question qu’on ne se posait pas avant. C’est un cadeau pour une comédienne ce genre de personnage à plusieurs dimensions, qui a du bon et du laid en elle. J’ai aimé apprendre à la connaître, j’ai eu un vrai coup de cœur pour Ursula. </em></p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id667160/article/2023-05-20/double-vice-ce-thriller-neerlandais-aux-accents-belges-cartonne-sur-netflix" >«Double Vice»: ce thriller néerlandais, aux accents belges, cartonne sur Netflix</a> </h4> </div>
 </p><p class="question"><strong> Vous saviez qu’Ursula avait été inspirée de Divine&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Quand j’avais découvert le film original, j’en avais été convaincue, le maquillage, l’attitude, tout y est. Mais ce n’était pas connu du public. A présent, c’est officiel&nbsp;! Je suis une grande fan de John Waters et de Divine, des drag-queens. J’aime ça depuis mon adolescence. C’est une forme d’art fantastique. J’ai donc pris exemple sur de nombreuses drag-queens, leur bravade pour se donner confiance. Le personnage rend homme à ce type de femmes, tout en en riant. Il y a un équilibre très étrange et merveilleux entre l’autodépréciation et l’autopromotion. </em></p><p class="question"><strong> Quel effet cela fait-il de jouer dans un classique Disney&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> C’est vraiment bouleversant, dans le meilleur sens du terme, parce que c’est un film tellement emblématique. Beaucoup de gens l’aiment et se le sont approprié. C’était leur enfance ou celle de leurs enfants, et à bien des égards, il appartient à tout le monde. C’est pourquoi il est important de se plonger dans ce film corps et âme. Penser au nombre de personnes qui vont le voir maintenant et pour qui il fera à leur tour partie de leur enfance et de celle de leurs enfants, c’est vraiment, c’est vraiment quelque chose. C’est très excitant </em></p><p> <figure><img class="media-object img-responsive" typeof="foaf:Image" src="https://spgeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_in_line/2023/05/24/node_668641/54830269/public/2023/05/24/B9734349990Z.1_20230524141027_000%2BG7HMR1MQD.1-0.jpg?itok=OIt4GdBq1684930593" data-width="" data-height="" alt="L’Ursula originale était inspirée de Divine, célèbre drag-queen des années 80. © Walt Disney" /><figcaption>L’Ursula originale était inspirée de Divine, célèbre drag-queen des années 80. © Walt Disney</figcaption></figure> </p><p class="question"><strong> Comment cette expérience vous a-t-elle fait grandir en tant qu’être humain et en tant qu’artiste&nbsp;? </strong></p><p class="reponse"><em> Hé, bien, c’est une expérience délicieuse. Rob Marshall, toute l’équipe a très belle façon de travailler, tellement créative et tellement collaborative. J’espère juste avoir appris auprès d’eux et emporter certaines valeurs avec moi. Il y a une telle gentillesse et une telle inclusion. J’ai appris que l’on peut faire quelque chose d’aussi exceptionnel et d’aussi grand tout en donnant à tous le sentiment qu’ils font le meilleur travail, qu’ils sont appréciés et que tout le monde compte de la même manière. </em></p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id667021/article/2023-05-20/superstar-du-festival-de-cannes-harrison-ford-se-confie-jai-passe-quarante-ans" >Superstar du Festival de Cannes, Harrison Ford se confie: «J’ai passé quarante ans avec Indiana Jones, je voulais le voir affronter le défi du vieillissement»</a> </h4> </div>
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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/668641

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Melissa McCarthy: «Pour jouer Ursula dans ‘’La petite sirène’’, je me suis inspirée des drag-queens»

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Ce 24 mai, Ariel, la petite sirène, est enfin revenue au grand écran, mise en scène par Rob Marshall, après les polémiques les plus dures qu’une adaptation live d’un classique Disney aura eu à affronter. Ça aura débuté dès le choix de l’actrice Halle Bailey, noire là où Ariel était plus pâle que la neige dans le conte d’Andersen et dans la version animée de 1989. On peut y ajouter la diversité ethnique de ses sœurs, littéralement de toutes les couleurs. Puis les paroles de «&nbsp;Kiss the girl&nbsp;» revisitées pour y intégrer la notion de consentement. Même Polochon, le poisson, créé numériquement, a eu droit à des critiques car il n’est pas joufflu comme l’original. Et avec Melissa McCarthy qui cite les drag-queens comme source d’inspiration pour son personnage, Ursula, on n’est pas à l’abri d’une nouvelle déferlante.</p><p> 
<div class="gr-media--digiteka gr-media gr-media--video"> <iframe class="gr-media__content" title="Digiteka" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/src/q8srfzz/showtitle/1/mdtk/01975982/zone/1/?tagparamdecoded=News&tagparam=cat%3Dnews" scrolling="no" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" style="z-index:1;" allowfullscreen="true" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" width="100%" height="400" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"> </iframe> </div>
 </p><p>  <div class="gr-linked-stories"> <h4> <span class="label label-default">Lire aussi</span> <a class="link-card" href="https://www.sudinfo.be/id665654/article/2023-05-16/maiwenn-t-elle-pris-parti-pour-johnny-depp-face-amber-heard-en-lui-offrant-le" >Maïwenn a-t-elle pris parti pour Johnny Depp face à Amber Heard en lui offrant le rôle de Louis XV dans «Jeanne du Barry»? Elle répond!</a> </h4> </div>
 </p><p>De passage à Londres ce 16 mai, l’équipe du film a affronté sereinement les bourrasques. «&nbsp;Je suis fière d’être une femme noire et je suis fière de pouvoir représenter ma communauté et tous les enfants qui n’ont jamais eu de sirène qui leur ressemblait, qui n’ont pas pu se voir dans la peau d’une princesse&nbsp;», a confié Halle Bailey à <strong>Ciné-Télé-Revue</strong>.</p><p>«&nbsp;Représenter la diversité est essentiel, nous méritons tous d’être dans des histoires comme celle-ci. Je me souviens de l’impact qu’a eu sur moi la princesse Tiana (première princesse noire de Disney, dans ‘La princesse et la grenouille’). Ce film est sorti quand j’avais 13 ou 14 ans et il a changé ma vie, la façon dont je me vois et dont je vois le monde, ma confiance en moi. C’est crucial d’avoir des personnages qui nous inspirent. Cette controverse, vous savez, ne m’a pas vraiment affectée. Je vois bien plus de positivité et d’amour que de haine&nbsp;», poursuit Halle Bailey.</p></div><div id="rossel-imu-center-mobile" class="gr-ads-inread">

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</div><div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p> <strong>Retrouvez notre critique du film, les interviews de Halle Bailey, Melissa McCarthy et Javier Bardem dans le Ciné-Télé-Revue qui sort ce jeudi 25 mai.</strong> </p></div>

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/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/668613

Interview

«Cette controverse ne m’a pas vraiment affectée»: Halle Bailey, Ariel dans le remake live de «La petite sirène», revient sur les polémiques suscitées par le film

Sudinfo avec ANP

<div class="dpipub-inread-grid-wrapper"><p>Il séjournait en Italie pour le tournage du film «&nbsp;Cassino à Ischia&nbsp;». Les détails sur les circonstances de son décès n’ont pas été communiqués.</p><p>Stevenson a, entre autres, joué dans les films «&nbsp;Le Roi Arthur&nbsp;», «&nbsp;Thor&nbsp;» et «&nbsp;The Punisher&nbsp;: Zone de guerre&nbsp;». Il était aussi acteur dans différentes séries télévisées dont «&nbsp;Vikings&nbsp;» et «&nbsp;Rome. Il apparaîtra d’ailleurs dans le prochain spin-off de Star Wars «&nbsp;Ahsoka&nbsp;».</p><p>Le comédien était né en 1964 à Lisburn, dans le nord de l’Irlande. Il avait suivi les cours de la «&nbsp;Bristol Old Vic Theatre School&nbsp;» en Angleterre. Après avoir figuré durant des années dans des séries télévisées, il avait fait ses débuts au cinéma dans «&nbsp;Theory of Flight&nbsp;» sorti en 1998.</p></div>

/Sections/Ciné-Télé-Revue/Cinéma/667980

THE DAYS

Faux profil

Sirène : l’île des survivantes

Le Dernier Wagon

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Le monde du cinéma en deuil: le cinéaste Jacques Rozier, figure de la Nouvelle vague, est décédé à l’âge de 96 ans

6/9/2 /Cinéma

Benoît Mariage: «J’avais envie d’une comédie à Molenbeek»

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Celle que vous croyez connaître : Anna Nicole Smith

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Disparitions, la course contre la montre

Asong Impiyerno Ang Pag-ibig

Jewish Matchmaking

Love Village

Le Tailleur